Pourquoi l’immobilier américain séduit de plus en plus les investisseurs francophones
Depuis quelques années, de nombreux investisseurs francophones cherchent à diversifier leur patrimoine en dehors de la zone euro. Face à la fiscalité lourde en Europe particulièrement en France et Belgique, à la rentabilité souvent limitée des biens métropolitains et un droit de propriété qui c’est dégradé, une nouvelle tendance se confirme : investir aux États-Unis.
Un marché immobilier plus dynamique et prévisible
Aux États-Unis, l’immobilier est avant tout un actif de rendement, pas seulement un actif de prestige.
Les loyers sont uniquement indexés sur le marché local, la vacance locative reste maîtrisée dans les États à forte croissance, et surtout, la fiscalité y est plus claire et plus stable que dans la plupart des pays francophones.
Les investisseurs apprécient particulièrement :
des rendements nets souvent entre 7 et 10 %,
des charges allégées,
et la possibilité d’investir via une société américaine (LLC) pour optimiser la gestion, la protection et la fiscalité.
Une rentabilité nette supérieure à celle de la pierre française
En France, la rentabilité brute moyenne d’un bien locatif tourne autour de 3 à 4 % dans les grandes villes — et à peine 2 % net une fois les impôts, les charges et les travaux déduits.
À l’inverse, dans certaines régions américaines où le foncier reste abordable, il est encore possible de trouver :
des maisons autour de 100 000 à 130 000 $,
générant 800 à 1 000 $ de loyer mensuel,
pour un rendement net supérieur à 8 % après frais de gestion et impôts locaux.
Étude de cas : une opération type à Memphis, Tennessee
Prenons l’exemple d’un investisseur francophone, installé à Bruxelles, souhaitant placer 150 000 $ dans un bien locatif.
Après étude, il opte pour un appartement neuf à Memphis (Tennessee), 2 chambres, 2 salles de bains.
Élément Détail
Prix d’achat 150 000 $ (frais inclus)
Loyer mensuel 1250 $
Gestion locative 10 %
Taxes foncières. 500 $/an
Assurance. 500 $/an
Rentabilité nette. ≈ 8%
Grâce à la structure en LLC, il limite sa responsabilité, simplifie sa fiscalité et prépare sereinement la transmission à ses enfants.
Et contrairement à la France, la fiscalité locale ne vient pas amputer la rentabilité : la déclaration annuelle reste simple, claire et proportionnelle.
Pourquoi les investisseurs francophones passent à l’action
Les profils qui se tournent vers l’immobilier américain ne sont pas uniquement des expatriés.
Ce sont aussi :
des chefs d’entreprise souhaitant sécuriser une partie de leur patrimoine,
des salariés francophones cherchant un complément de revenu en devises,
ou encore des familles voulant se constituer un actif tangible, décorrélé du marché européen pour financer un projet commun.
En résumé
Investir aux États-Unis, ce n’est pas seulement chercher du rendement :
c’est aussi s’offrir une sécurité patrimoniale dans un environnement clair, pro-investisseur, et tourné vers la croissance.
La clé du succès ?
S’entourer de professionnels connaissant à la fois les mécanismes fiscaux francophones et les structures américaines (LLC, Trust, C-Corp).
C’est cette double expertise qui permet d’investir efficacement, sans subir la complexité administrative.
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Chez Histoire de Patrimoine, nous accompagnons les investisseurs francophones dans toutes les étapes :
étude de rentabilité,
création de structure,
sélection du bien,
et suivi à long terme.
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